Le vaccin anti HPV
Le vaccin anti HPV
Nous l’avions vu venir depuis longtemps, le vaccin anti HPV va maintenant être proposé aux hommes en prévention de certains cancers. Car le marché féminin ne suffisait visiblement pas…
Il faut rappeler que ce vaccin (non obligatoire, nous le précisons) agit sur quelques souches de HPV Papillomavirus humain responsables de cancer du col de l’utérus. Il est présenté comme étant un vaccin anti cancer, ce qui est un détournement de la vérité. Car, il ne fait que lutter contre certains virus responsables de cancer, nuance ! Et le résultat de ce vaccin sur le cancer reste encore à démontrer.
D’autre part, il faut savoir que le HPV est un virus extrêmement fréquent et banal. Il existe environ une centaine de HPV différents. Certains sont responsables des verrues et des condylomes alors que d’autres induisent des cancers du col utérin, mais aussi des cancers de l’anus, de la vulve, du vagin, du pénis, de la sphère ORL et même de la peau… Mais les HPV ne sont pas les seules causes de ces cancers. Ils ne constituent qu’une cause parmi d’autres.
Le HPV est transmis par simple contact. Sa présence dans un organisme est donc tout à fait banale. Par ailleurs, il guérit spontanément dans l’immense majorité des cas. Ce n’est que sa persistance pendant des années qui en font sa dangerosité, sans doute par l’inflammation chronique qu’il produit. Au total, seulement 0,3% des infections évolueront vers un cancer.
Il est vrai que la médecine conventionnelle n’est pas outillée contre les virus, les antiviraux faisant souvent plus de mal que de bien. C’est pourquoi les médecins insistent tant sur ce vaccin.
Par contre, il existe d’excellents remèdes naturels pouvant traiter les HPV : la podophylline, l’acide trichloro Cacétique, la vitamine A, les huiles essentielles, les ovules au lactobacillus, les champignons japonais, la micro Cimmunothérapie… sans oublier une bonne immunité générale.
De plus, ces vaccins ne sont pas sans effets secondaires graves: des troubles neurologiques, paralysies faciales, syndromes de Guillain Barré, crises d’épilepsie, des fausses couches, des maladies auto-immunes, des asthmes, des problèmes digestifs, des douleurs névralgiques et des appendicites et même des décès. Mais bien sûr, comme il n’est pas possible d’apporter la preuve formelle que ces troubles sont les conséquences de la vaccination, ceux–ci sont reniés et dénigrés.
Donc, ce sera à chacun de juger ce qu’il juge être le meilleur pour lui ! Personnellement, mon choix pour moi et ma famille est fait : je ne me vaccinerai pas contre le HPV.
Dr Luc Bodin - www.conseilslucbodin.com/